4 février 2010
4
04
/02
/février
/2010
10:39
J’entamais mon petit texte pour introduire ces quelques clichés quand, soudain, une interpellation radiophonique « C’était pendant l’aurore d’une profonde nuit ». Oh diable ! mais c’est tout ce que j’ai à dire… Donc, pour vous éviter un nouvel élan scriptural, je m’en tiendrai à cette phrase de Racine.