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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 10:35

 

Tout d’abord, en prélude à ce texte, je tiens à répondre à une interrogation qui peut légitimement être posée par celui ou celle qui me lira. Ne faut-il pas être d’une grande prétention, un peu gonflé, pour écrire des textes qui tentent de répondre à des questions dites existentielles ? La réponse sera courte. Oui. D’une part, il faut une certaine prétention, mais elle est aussi envers soi-même. Car en réalité, le premier lecteur de ces textes et de ces affirmations, c’est moi. Je me parle tel un petit vieux sur son banc pour être sûr de comprendre ce que j’entrevois. D’autre part, il ne s’agit que d’un polaroid, une posture figée avec toutes les illusions qu’elle suppose. J’avance avec une lampe frontale pour mettre en lumière quelques photos qui tapissent mes murs intérieurs. Je mets un peu d’ordre dans l’album quoi...  Et pour vouloir faire du ménage dans mes idées, il faut être d’une grande prétention !

 

Venons en au rendu polaroid du jour, celle qui va doucement se dessiner sur cette page. Il s’agit d’une question qui n’est pas sans rapport avec le prélude, la question porte sur l’Être et sa « place ».

 

En fait, une phrase s’est immiscée dans mon crâne vide alors que je courrais paisiblement. Une phrase qui m’a fait du bien et qui résonne encore. Je tenais donc à la partager. Cette phrase est la suivante : « Il faut investir tout son être ! ». Je reconnais qu’elle semble être d’une incroyable simplicité et d’une portée limitée. Mais cela est sans compter sur tout ce qu’elle traine derrière elle de sensations et de libérations. Au delà de cette phrase, il est bien évident que comme toute « révélation », terme à prendre avec des pincettes, elle s’accompagne de sensations physiques et psychologiques. Une forme d’illumination tranquille.

 

Tout d’abord petit point sur le mot « investir » utilisé sans que cela ne soit un choix conscient de ma part. Il peut être ambigu. Je pense que ce mot n’est pas là par hasard (ah, le hasard, parlez-en aux Bogdanov :-). Il a des sens différents selon les contextes. Ici, il s’agit aussi bien de « remplir » son être que de lui redonner son pouvoir, de l’investir de sa présence même. D’autre part, d’une certaine façon, c’est aussi une invasion de son être, on l’envahi de façon douce et on y retrouve toute notre place, on redevient maitre de son royaume ! Investir c’est aussi placer quelques valeurs pour qu’elles rapportent plus, et là, j’espère que la démonstration sera faite plus loin. Enfin, investir, c’est aussi « s’investir », c’est à dire entrer pleinement dans son action, plonger littéralement dans ce qu’on est, ce qu’on fait. En être l’auteur, l’acteur et le spectateur !

 

« Il faut investir tout son être ! ». A quoi cette phrase fait-elle écho chez moi ? Une image très simple et très parlante accompagne cette phrase, une image active qui lui donne un premier sens, une première dimension : je me vois remplir mon corps, du moins, je vois ce qui pourrait représenter mon « être éthéré » (appelez cela esprit, âme, visualisation ou corps astral, peu importe) « investir », remplir tout mon corps. Pour vous en faire une image, il suffit de faire l’exercice suivant. Imaginez vous envahir votre corps comme on enfile un gant ! Cela revient à prendre conscience de tous ses membres, de la tête aux pieds, d’une main à l’autre. Vous vous « investissez » dans tout ce que vous êtes, en long, en large et en travers. Allez-y, debout ou assis, visualisez-vous remplir votre corps de cet être « fantôme ». Vous vous possédez vous-même ! Pensez à la scène de Ghost quand Patrick Swayze envahit Whoopi Goldberg, vous êtes les deux ! Laissez votre esprit scanner tout votre corps, et là où il ira, ira respiration et énergie. Si vous êtes bien décontracté, vous pourrez sentir comme un fluide circuler. Toute sensation est bonne à prendre et n’est pas plus le fruit de l’imagination que toutes celles que vous considérez comme concrètes (goût, odeurs, etc.). Une sensation est une sensation. Je pense que l’on a tendance à se couper d’elles et donc à se priver d’une source d’information importante. Redevenez le bébé que vous étiez ! Même si nous n’avons plus la même sensibilité tactile, nous pouvons retrouver le même investissement.

 

Certain pourront se dire qu’ils sont déjà dans leur corps et qu’il ne voit pas ce qu’il pourrait faire de plus. Soit ils ont raison et ils comprennent alors naturellement de quoi je parle, soit il y a de grandes chances pour qu’ils délaissent sans même sans rendre compte une partie d’eux même, sinon une majorité… Si eux ne le voient pas, il est facile pour les autres d’en faire le constat. Il suffit de regarder une personne pour sentir ces blocages, comme ceux dans les épaules par exemple. Je parle de cela car c’est un mal fréquent. Ceux qui travail beaucoup avec leur tête, souvent assis devant un ordinateur, on tendance à tout concentrer dans les épaules, comme si tout ce qui était en dessous n’avait plus de vie. Une désertion d’une partie du corps qui entraine mal de dos, tensions diverses et raideur de la nuque… Les « fluides » ne circulent plus !

 

Mais ceci n’est qu’une partie visible et un premier éclairage sur le sens de la phrase : « il faut investir tout son être ! ». L’être n’est pas qu’un corps. L’être est bien plus vaste. Si dans un premier temps, il est important d’être dans toute sa chaire, dans tous ses os, dans tous ses poils, bref dans chaque recoin de sa personne physique, il faut aussi être dans tous les recoins du « non physiques » ! Pour ce qui est d’investir la part qui va au delà du physique, le travail est un peu différent mais il le prolonge. Une fois que vous avez investit votre corps, vous avez conscience de vous-même, de votre Être. Ne cherchons pas à le définir, cela n’est pas possible. Pour investir tout son être, il faut accepter toutes ses contradictions, enfin, accepter d’en avoir. Du coup, elles n’en sont plus, elles se nourrissent entre elles ! Accepter tout ce qui nous constitue dans l’instant et surtout ne pas s’enfermer dans une pensée. Remplir son être, c’est remplir tout l’espace et tout le temps qui nous compose. Plus encore ! C’est remplir tout ce qui nous entoure qui est une part de nous également.

 

Mais je pars dans une description qui peut sembler abstraite. Cela nous amène pourtant  à ce qu’il y a de plus concret. Je rejoint d’une certaine manière les pensées d’André Compte-Sponville sur « l’être-temps » qui dit que le temps n’existe que dans l’être ; Nous sommes le temps et donc j’ajouterai que nous sommes l’espace, deux facettes d’une même « réalité psychique » (quelle qu’elle soit). Investir son être c’est donc être dans toutes les dimensions, au delà des limites que nous nous infligeons « mentalement ». Remplir tout ce que nous sommes revient à ouvrir toutes les vannes sans chercher à les canaliser. Imaginez une énorme structure gonflable dont l’eau viendrait remplir chaque recoin pour lui donner forme. Nous devons prendre forme. Il est probable que la peur et les bonnes morales, soit à la source de plein de blocages, de même que le manque de confiance ou les retenues dû à la volonté de maitriser son image. Investir tout son être est beaucoup plus compliqué qu’il n’y paraît car cela exige une forme de « lâcher-prise » qui n’est pas habituelle. La peur de devenir un être infâme, inadapté ou simplement mal aimé retient beaucoup de nos actes. Or, je pense que profondément, nous n’avons pas besoin de ce contrôle pour rester quelqu’un de « côtoyable ». L’excès inverse produit les mêmes effets : nier les autres et se foutre de leur existence créer aussi des blocages, des visions nombrilistes qui nous asphyxient. L’idée n’est pas de laisser nos démons envahir pensées ou actions. Le propos n’est pas là ; il est beaucoup plus simple. Les barrières que nous voulons briser sont conscientes, ou à fleur de conscience. Les démons se trouvent plutôt dans nos pensées alors que nous, ce que nous cherchons en nous remplissant, c’est le vide ! Paradoxale, non ? Se remplir l’Être pour le vider des pensées…

 

Maintenant que j’ai sommairement expliqué ce qu’exprimait pour moi l’idée d’investir tout son être, voici en vrac quelques pensées que cet acte « profond » m’inspire. (quoi, des pensées ! mais je les ai toutes vidées moi… encore une contradiction !).

 

« Investir tout son être ! » est être pleinement remplis, et donc ne manquer de rien. Ne plus être dans un cycle « désir de posséder / possession /  désir de posséder »…

 

« Investir tout sont être ! », c’est aller au delà de l’image que l’on a de soi et au delà de l’image que les autres nous renvoient. C’est une façon de s’accorder avec tout ce qui nous entoure, d’être tout ce qui nous entoure. Ainsi, il y a une forme d’évidence naturelle à être en un lieu et en un temps, puisque nous sommes ce lieu et ce temps ! Se retrouver mal à l’aise car on ne se sent pas à sa place, c’est ne pas occuper tout son être, « l’eau » ne remplis pas toute la « structure gonflable » ! C’est se recroqueviller dans un coin de soi-même par peur d’être aperçu, par peur qu’on remarque notre mal aise, or sans mal aise, nous n’avons plus rien à cacher... Physiquement, notre attitude dévoile nos « états d’âme » mais inversement, nos états d’âme peuvent être modifiés par nos attitudes. Quand on investit son être, qu’on se gonfle, nos attitudes deviennent plus confiantes et plus sereines. Se gonfler n’est pas non plus bomber le torse pour montrer comme on est beau ;-) Il s’agit d’un maintien simplement naturel, une juste tension, ni trop courbé dans un sens (dos vouté par exemple), ni trop courbé dans l’autre (ventre prééminent et dos creusé)…

 

« Investir tout son être ! » c’est ne pas se donner de limites, les limites n’existe pas en dehors de nous-mêmes. Et oui ! Les limites se font d’elles même et ne seront concrètes que dans l’instant. Les anticiper, c’est se les créer avant même de les avoir rencontrées. Vous arrêtez vous cent mètres avant la falaise parce que vous savez que vous ne pourrez aller au delà de cette falaise ? Surement non, vous voulez profiter du spectacle ! Il nous suffit d’être en accord avec ce que nous sommes et avec ce qui nous entoure. Alors tout devient possible dans la mesure où l’on avance pas après pas, instant après instant, sans présumer de l’instant suivant et sans se figer sur l’instant passé. Le bord de la falaise n’est plus une limite mais une condition qui confère au moment toute sa beauté ! Les limites peuvent aussi être le produit du passé. Vous ou une partie de vous-même restez bloqué, comme un disque rayé, sur un instant révolu. C’est flagrant quand cela concerne un traumatisme important, mais il en est de même pour des choses plus insignifiantes. Prenez un simple son de cloche, à son écoute, vous aurez tendance à vous y accrocher même quelques instants. Son existence persistera comme persiste l’empreinte lumineuse sur une rétine. Ce qui veut dire que pendant un ou plusieurs instants vous serez restés accrochés à ce qui n’existe plus, le son d’une cloche. Les cérémonies zen sont ponctuées de coups sur du bois et du métal ; pour moi cela évoque ce non attachement à leurs « résonnances ». L’exercice serait de ne pas laisser les pensées s’y attacher et de passer à l’instant suivant vide pour l’accueillir pleinement. Pas si simple ! Pas étonnant que l’on puisse rester fixé sur des événements plus conséquents. L’histoire de la gorgone Méduse et de Persée en est une métaphore : le passé n’est plus, ne le regardons que dans le rétroviseur, de temps en temps et non de face comme un instant toujours vivant si nous ne voulons pas rester figé à tout jamais !

 

Investir tout son être, c’est être bien plus grand que nous ne voulons le croire. La liberté est d’occuper tout son espace et tout son temps, tout son instant. La liberté n’est pas faire ce que font les autres, avoir ce qu’on les autres, ou encore penser ce que pensent les autres. C’est juste investir tout son être ! Le remplir sans fin. Investir tout son être est donc finalement se libérer des entraves dont nous nous affublons. Se sentir libre n’est-ce pas juste se sentir là où l’on doit être, là où l’on veut être et être ce que l’on doit être ? En ce sens, aussi étrange que cela puisse paraître, un prisonnier peut être libre et un homme en pleine nature peut être prisonnier…

 

« Investir tout son être ! », c’est accepter les autres, puisqu’ils sont une partie de nous-même. Le rejet de l’autre est l’équivalent psychologique d’une contraction, d’un blocage. La peur en est souvent l’origine. Prenons par exemple les pensées xénophobes qui ont de plus en plus d’adeptes ces temps-ci. Il s’agit d’une vision figée, qui pose pour principe qu’il existe une frontière en moi et les autres. Et ces frontières, je les dessine au gré de mes peurs et des informations anxiogènes. Investir son être ne peut mener à de tels raisonnements. Investir son être c’est s’ouvrir sur les autres et sur ce qui nous entoure. Ce n’est pas une vision « bisounours » du monde puisque cela ne nie en rien ni la misère, ni les difficultés. C’est une façon de prendre du recul. Pour certains, ne sont réalistes que les visions déprimantes et pessimistes, parce qu’ils le sont ! Pour d’autres, l’amour est un mot tabou qui sent bon l’eau de Cologne à la rose, un mot réservé aux naïfs ou aux religieux béats. Et pourtant, investir tout son être c’est dépasser les petites pensées qui tournent en boucle comme des mantras sensés nous apaiser, et qui au contraire alimentent nos angoisses et limites nos perceptions. Investir tout son être c’est ce qui ressembler le plus à l’Amour. Celui qui englobe tout et qui n’a pas de contraire, la haine n’étant qu’un blocage parmi tant d’autres. C’est juste une acceptation de ce qui est, et une reconnaissance de ce que nous sommes. C’est au delà de la bonne morale qui n’a de sens que dans les actes et dans ce que l’on transmet aux autres. Par exemple, vilipender des actes racistes ou criminels ME semble logique or, souvent, est exprimée pour les combattre une autre forme de haine. De ce fait, le message diffuse autant de haine et de problèmes que de mots « sensés ». C’est un cercle vicieux. Les sentiments se nourrissent d’eux-mêmes. De chaque côté, on croit être du bon… Mais dans le fond, ce que l’on exprime et ce que l’on donne, plus que les mots, ce sont les sentiments qui nous motivent. (C’est d’ailleurs pour cela que l’on peu rire de tout mais pas avec n’importe qui !). La haine, la rancœur peuvent motiver des discours dits humanistes…

 

« Investir tout son être ! », c’est dépasser les sentiments de colères qui sont des blocages, des tensions même si elles paraissent justes  et pour la bonne cause. Nous pouvons diffuser de bonnes paroles dans un sens mais du mépris et de la haine dans un autre. Nous semons nos sentiments bien plus que du sens ou du bien matériel. Croyez bien que ce qui sera le plus visible et le plus diffusé ne sera pas le discours aussi beau soit-il. Il suffit de regarder un « zapping » pour s’en rendre compte, ce qui se diffuse largement ce sont les sentiments qui s’en dégagent. Un discours sera entendu s’il est dit avec « compassion », c’est à dire en comprenant la passion de l’autre, qui n’est autre qu’une forme de nous-mêmes. Investir tout son être nous invite à comprendre les autres et leurs propres blocages, puisque nous avons les mêmes. Vous remarquerez d’ailleurs que nous sommes souvent plus sensible chez les autres par les défauts ou des tendances que nous avons nous-mêmes. En cela, observer l’autre nous apprend beaucoup sur nos propres tendances négatives comme positives. Attention, ne pas exprimer la colère n’est pas ne plus élever le ton ou encore de ne plus réprimander. Cela n’a rien à voir. On confond souvent colère et autorité, deux attitudes bien différentes… De même, on peut avoir une attitude colérique, sans avoir de sentiments de « colère ». Quand la mer se déchaine, on ne se dit pas qu’elle est en colère, elle répond simplement à une situation. Investir tout son être est donc avoir conscience de ce que l’on diffuse…

 

Mais revenons à un raisonnement plus pragmatique. Passer par la phrase « il faut investir tout son être !», est une façon de visualiser ce qu’est « être ici et maintenant ». C’est ne pas s’attacher à ce qui a été et ne pas appréhender ce qui sera. Ce n’est pas se forcer à remplir un temps et un espace mais plutôt à ne plus s’empêcher de les remplir. Dans un premier temps, il suffit de s’observer et de voir quand nous nous sommes sentit coincé, à l’étroit, déplacé ou encore « pas dans le rythme » comme à côté de soi… Les observer c’est déjà une façon d’identifier nos blocages. Ensuite, par la visualisation qui s’apparenterait à une forme de concentration (être avec son centre), on part du centre pour s’étendre, on lâche les tensions et on prend toute notre place. A chaque situation, faite l’expérience de vous sentir « plein », « entier », remplis de ce que vous êtes sans chercher à contenir vos réactions. Ouvert à ce qui arrive et non sur la défensive. Ainsi, on doit pouvoir être partout chez soi ! Enfin, cela ne signifie pas qu’il faille agir comme si l’autre n’existait pas et mettre les pieds sur la table de salon du voisin… Bien au contraire. Nous sommes chez nous mais dans les conditions propres aux instants. L’autre est une part de nous même. Investir son être, n’est pas nier l’espace de l’autre !

 

« Investir tout son être ! », c’est lâcher le brouhaha de nos pensées. L’agitation « nerveuse » de nos réflexions disparaît dès lors que l’on occupe tout son être. Ce que l’on croyait être toute sa personne finit par ressembler à une mouche qui s’agitait dans un bocal. Investir tout son être c’est accepter le vide et l’infini, le silence et la profondeur.

 

« Investir tout son être ! », c’est se projeter sur tout, devenir infiniment grand comme infiniment petit, et comprendre que tout nos actes et leurs conséquences sont une partie de nous même, un prolongement, une aura... Ce texte est une partie de mon être, vous qui lisez ce texte êtes une partie de moi-même, le gentil message que vous me laisserez sera une partie de moi-même, le sentiment de fatigue que vous aurez parce que vous aurez tout lu et qu’encore une fois j’ai fait trop long pour un blog sera une partie de moi-même, et donc finalement, je suis une partie de vous-même… Il n’y a que votre raison armée de son scalpel pour démêler tout cela à tord ou raison. Elle coupe dans le tas même si cela ne ressemble plus à grand chose au final. Si elle peut parfois passer pour une virtuose du bistouri, on pourrait d’autres fois porter plainte pour défiguration ! Ah la raison…

 

Investir son être c’est finalement tellement d’autres choses, que j’arrêterais là le défilé des polaroïds pour laisser à chacun le loisir de découvrir tout son espace, et au bout de cette espace que nous sommes tous là, (hé oh ! oui, juste devant :-), sujet d’une même source et dans un même instant…

 

Allez, après cette séance de diapo où je vous ai présenté quelques clichés de mes pensées, je vous dis à bientôt pour se vider une coupe et se remplir de gâteaux apéro !

 

 

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commentaires

C
Et bien... encore un texte que j'imprime (6 pages quand même) et que je lirai tranquillement... Je veux profiter de tes jolis mots et de ta "réflexion".<br /> A plus tard...
Répondre
L
<br /> <br /> bonne lecture ! à bientôt...<br /> <br /> <br /> <br />

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